Tribunes épicuriennes #9 – Jérôme

La team d’EPIC a décidé de vous offrir un tour d’horizon des histoires personnalisées de ses rédacteur·trice·s. Le principe est simple : chaque semaine, un·e membre abordera sa vision du webmagazine et comment celle-ci a évolué de concert avec la pandémie. Après Alice Randegger la semaine dernière, Jérôme Lichtsteiner, membre d’EPIC depuis trois ans, se prête à l’exercice.

A qui on s’adresse ? Comment les gens perçoivent EPIC ? C’est quoi ou c’est qui EPIC ? Qu’est-ce qu’on veut dire aux gens ? Comment on veut le dire ? Qu’est-ce qui nous différencie ? Quelle est l’identité du magazine ?

J’ai rejoint EPIC en octobre 2018 avec la volonté de partager mes compétences dans mon domaine et ma passion, à savoir la vidéo.

En arrivant à EPIC, j’avais envie de développer la vidéo en proposant des formats qui se rapprochent de ce que l’on connaît toutes et tous aujourd’hui, comme par exemple des interviews d’artistes, des reportages, etc… La réalité étant que, même si ce sont des formats courts, ils demandent un investissement financier, organisationnel et temporel que je ne pouvais tout simplement pas mettre à disposition.

Alors comment mettre mes compétences dans ce domaine au service d’EPIC ? 

Même si je n’arrivais pas à développer la vidéo comme je l’aurais voulu, cette équipe qui arrivait à chaque réunion avec des idées d’articles, de partenariats, de soirées et avec une bienveillance sans limite m’avait donné envie de rester et de faire partie de cette aventure EPIC.

Quelques réunions et quelques discussions plus tard, Clément, Meryl et Julie m’ont aidé à me rediriger sur la création de supports de communication pour le magazine, comme des vidéos d’annonce de partenariats, des petites animations et autres visuels que vous avez pu voir en grande majorité dans nos stories Instagram. Un format qui correspondait beaucoup mieux à ce que je pouvais offrir au magazine et ce dont il avait besoin. 

J’essaie, dans nos visuels, de créer une homogénéité au travers de l’identité des membres de l’équipe et du magazine.

Je me renseigne auprès des différents médias qui me plaisent et j’adapte ce que j’aime à ce qui me semble en accord avec EPIC, comme par exemple des vignettes de stories Instagram cohérentes, ou l’utilisation constante d’une typo pour nos projets, etc… Plein de petits aspects visuels qui contribuent à notre identité. Ce n’est pas grand chose, on avance à notre rythme, c’est parfois frustrant mais c’est aussi une bonne leçon de patience, surtout pour moi. Etant donné que, chez EPIC, la qualité prime sur la quantité, on en ressort toujours assez satisfait.

Avec la pandémie, je pensais que cette période serait difficile pour le magazine, pour l’équipe et pour moi (avec ma patience inexistante). 

Au contraire, puisque l’équipe s’est montrée plus créative que jamais ! Je pense à la playlist Spotify de Meryl, les EPIC OMOT d’Alice et Sarah, l’EPIC ESKIS de Julie et tous les autres, qui ont été très bien accueillis par un public qui, malgré la fermeture des lieux culturels, était présent avec tout leur soutien.

Après maintenant plusieurs années au sein d’EPIC, son identité s’est affirmée. Et je pense que l’identité de ce magazine est le reflet de l’identité de chacun·e·s de ses membres, et que, tout comme ses membres, elle est en constante évolution, que ça soit avec ou sans pandémie.

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